1. L'annee balzacienne
2. Le Courrier balzacien
3. Poetique
4. Revue des sciences humaines
5. Revue d'histoire litteraire de la France
6. Revue d'histoire litteraire de la France contemporaine


Bibliographies

II. OUVRAGES SPÉCIALISÉS



A. BALZAC ET SON UNIVERS

1. Biographie de Balzac
CITRON, Pierre, Dans Balzac, Paris, Seuil, 1986, 301 pages.
MAUROIS, André, Prométhée ou la vie de Balzac, Paris, Flammarion, 1974, 697 pages.
PICON, Gaëtan, Balzac, Paris, Seuil, 1956.
SIPRIOT, Pierre, Honoré de Balzac 1799-1850, Paris, l’Archipel, 1999, 460 pages.



 2. Ouvrages commémoratifs 
 ACADÉMIE DES SCIENCES, ARTS ET BELLES LETTRES DE TOURAINE, Bicentenaire de la naissance d’Honoré de Balzac 1799-1850, Tours, C.L.D., 1999, 167 pages.



Balzac, le livre du centenaire, Paris, Flammarion, 1952, 330 pages.



Balzac, préface et notices de Stéphane Vachon, Paris, Presses de l’Université de Paris- Sorbonne, 1999, 559 pages.





3. Sur la pensée de Balzac
ATKINSON, Geoffroy, Les idées de Balzac d’après la Comédie humaine, tome I, Psychologie, passions, physiologie, Genève, Droz, 1949, 110 pages.
—, Les idées de Balzac d’après la Comédie humaine, tome II, Mœurs, histoire, théories métaphysiques et philosophiques, sciences naturelles, enfance et éducation, Genève, Droz, 1949, 116 pages.
—, Les idées de Balzac d’après la Comédie humaine, tome III, Influences du milieu, théories politiques, sentiments religieux, sciences occultes, Genève, Droz, 1949, 116 pages.
—, Les idées de Balzac d’après la Comédie humaine, tome IV, La morale, les sentiments politiques, Genève, Droz, 1949, 116 pages.
BILODEAU, François, Balzac et le jeu des mots, Montréal, Les presses de l’Université de Montréal, 1971, 228 pages.
CHOLLET, Roland, Balzac journaliste. Le tournant de 1830, Paris, Klincksieck, 1983, 654 pages.
COURTEIX, René-Alexandre, Balzac et la Révolution française. Aspects idéologiques et politiques, Paris, PUF, 1997, 458 pages.
CURTIUS, Ernst Robert, Balzac, Paris, Bernard Grasset, 1933 (Bonn, 1923), 434 pages.
GUYON, Bernard, La pensée politique et sociale de Balzac, Paris, Armand Colin, 1947, 829 pages.
LAUBRIET, Pierre, L’intelligence de l’art chez Balzac d’une esthétique balzacienne, Genève, Slatkine Reprints, 1980 (réimpression de l’édition de Paris, 1961), 578 pages.
NYKROG, Per, La pensée de Balzac dans la Comédie humaine, Copenhague, Munksgaard, 1965, 414 pages.
ROSA, Annette, TOURNIER, Isabelle, Balzac, Paris, Armand Colin, 1992, 210 pages.
TROUSSON, Raymond, Balzac disciple et juge de Jean-Jacques Rousseau, Genève, Droz, 1983, 277 pages.





4. Balzac et la Comédie humaine  
BARBÉRIS, Pierre, Le monde de Balzac, Paris, Arthaud, 1973, 603 pages.
BERTHIER, Philippe, La Vie quotidienne dans La Comédie humaine de Balzac, Paris, Hachette Littératures, 1998, 348 pages.
BORDAS, Éric, Balzac, discours et détours. Pour une stylistique de l’énonciation romanesque, Toulouse, Presses Universitaires du Mirail, 1997, 367 pages.
FRAPPIER-MAZUR, Lucienne, L’expression métaphorique dans la Comédie humaine, Paris, Klincksieck, 1976, 377 pages.
MARCEAU, Félicien, Balzac et son monde, Paris, Gallimard, 1986 (1970), édition revue et augmentée, 700 pages.
MÉNARD, Maurice, Balzac et le comique dans La Comédie humaine, Paris, PUF, Publications de la Sorbonne, 1983, 448 pages.
REY, Pierre-Louis, La Comédie humaine, Paris, Hatier, coll. Profil d’une œuvre, 1979, 79 pages.
ZÉLICOURT, Gaston de, Le monde de la Comédie humaine. Clefs pour l’œuvre romanesque de Balzac, Paris, Seghers, 1979, 335 pages.





5. Quelques éditions critiques du Père Goriot [1] 
Honoré de Balzac, Le Père Goriot, préface de Édouard Herriot, Paris, Bordas, coll. Les Grands Maîtres, 1949, 248 pages.
Balzac, Le Père Goriot, introduction, notes et appendice critique par Pierre-Georges Castex, Paris, Classiques Garnier, 1960, 481 pages.
Balzac, Le Père Goriot, chronologie et préface par Pierre Citron, Paris, Garnier-Flammarion, 1966, 254 pages.
Balzac, Le Père Goriot, préface de Françoise Van Rossum-Guyon et Michel Butor, commentaires et notes de Nicole Mozet, Paris, Librairie Générale Française, coll. Le Livre de Poche Classique, 1983, 406 pages.
Balzac, Le Père Goriot, publié par Gérard Gengembre, Paris, Magnard, coll. Textes et contextes, 1989, 549 pages.
Balzac, Le Père Goriot, introduction, notes et dossier de Stéphane Vachon, Paris, Librairie Générale Française, coll. Le Livre de Poche Classique, 1995, 443 pages.  



6. Ouvrages critiques traitant du Père Goriot
BARBÉRIS, Pierre, Le Père Goriot. Écriture, structure, significations, Paris, Larousse, 1972, 295 pages.
BERTAUT, Jules, Le Père Goriot de Balzac, Amiens, Éditions Edgar Malfère, 1928, 126 pages.
GUICHARDET, Jeannine, Le Père Goriot d’Honoré de Balzac, Paris, Gallimard, Folio, 1993, 246 pages.
QUINSAT, René, Le Père Goriot de Balzac, Paris, Hachette, 1971, 94 pages.



A. REVUES BALZACIENNES FRANÇAISES
1. L’Année balzacienne 
 BARON, Anne-Marie, « La double lignée du Père Goriot ou les composantes balzaciennes de l’image paternelle », 1985, p. 299-311. 



DUBERN, Eug. B., « La rente française chez Balzac », 1963, p. 251-268.
FARGEAUD, Madeleine, « Les Balzac et les Vauquer », 1960, p. 125-133.
GUICHARDET, Jeannine, « Un jeu de l’oie maléfique : l’espace parisien du Père Goriot », 1986, p. 169-189.
HOFFMANN, Léon-François, « Les Métaphores animales dans Le Père Goriot », 1963, p. 91-105.
LOTTE, Fernand, « Balzac et la table dans la Comédie humaine », 1962,p. 119-179. 
MEININGER, Anne-Marie, « Sur Le Père Goriot », 1973, p. 382-384.
MICHEL, Arlette, « Le pathétique balzacien », 1985, p. 229-245.
MOZET, Nicole, « La description de la Maison Vauquer », 1972, p. 97-130.
OSHITA, Yoshie, « De l’entrée à la sortie de Vautrin dans Le Père Goriot », 1989, p. 233-243.
PAULY, Rebecca M., « Sur le décor de la pension Vauquer : Télémaque échoué aux murs du salon », 1989, p. 317-324.
THÉRIEN, Michel, « Métaphores animales et écriture balzacienne : le portrait et la description », 1979,       p. 193-208.



 2. Le Courrier balzacien 
 J.-A. D., « Vautrin », n° 2, janvier 1949, p. 9.



B. AUTRES REVUES FRANÇAISES



1. Europe 
 « Colloque Balzac », organisé par le Centre d’études et de Recherches marxistes, n° 429-430, janvier-février 1965, p. 190-202.





 2. L’Information littéraire 
 SURER, Paul, « Quelques cadres d’étude pour Le Père Goriot », troisième année, novembre-décembre 1951, p. 196-202.



 3. Poétique
BERNARD, Claudie, « Balzac et le roman historique », n° 71, septembre 1987,  p. 333-355.
VACHON, Stéphane, « Le (mot) drame du Père Goriot », n° 111, septembre 1997, p. 323-342.



 4. Revue de la police nationale
TRESSE, René,  « Les Commissaires du pont du Var de 1816 à 1860 »,  juillet-août 1968, p. 31-40.





 5. Revue des sciences humaines 
 CONNER, J.-Wayne, « Vautrin et ses noms », 1959, p. 265-273.



 6. Revue d’histoire littéraire de la France 
 DASPRE, André, « Le roman historique et l’histoire », mars-juin 1975, p. 235-244. 
MOLINO, Jean, « Qu’est-ce que le roman historique ? », mars-juin 1975, p. 195-234.
VERNIÈRE, Paul, « Balzac et la genèse de Vautrin », janvier-mars 1948, p. 53-68.



 7. Revue d’histoire littéraire de la France contemporaine
CANFIELD, Arthur Graves, « Les personnages reparaissants de La Comédie humaine », vol. XLI, n° 1, janvier-mars 1934, p. 15-31.



 8. Revue historique
CHEVALIER, Louis, « La comédie humaine : Document d’histoire ? », tome CCXXXII, juillet-septembre 1964, p. 27-48.



 9. Revue historique du droit 
 CASTALDO, A.,  « L’histoire juridique de l’article 1781 du Code civil », 1977,    p. 211-237.


 출처 : http://membres.lycos.fr/goriot/bibliographie/

또 다른 서지목록 http://spleen.uchicago.edu/balzac/bibliobalz.htm


 


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Aiglemont, général marquis Victor d'
Colonel de cavalerie à trente ans, officier d'ordonnance de l'Empereur. En 1813, il est chargé de prévenir l'Empereur qu'il peut passer en revue ses troupes (La Femme de trente ans). Après le Premier Retour, il entre dans les Gardes du coprs de Louis XVIII avec rang de général. Il suit les Bourbons à Gand et est promu Lieutenant-Général au Second Retour et retrouve son titre de marquis. Il sera fait pair de France. C'est le cousin de Julie de Chastillonest qu'il épouse en 1813 ou en mars 1814. C'est un camarade de régiment du comte Mignon de la Bastie qui lui a déconseillé ce mariage (Modeste Mignon). D'après la comtesse de Listomère-Landon qui a recueilli Julie lors de son départ en campagne estime qu'il s'est conduit en Lansquenet envers sa femme. Il retrouvera Julie après le Premier Retour. En 1819, il s'est déshabitué de sa femme. Il devient en 1819, l'amant de Mme de Sérisy (La Duchesse de Langeais). En 1821, après la guérison de sa femme, il accepte le pacte secret qu'elle lui impose. En 1823, il provoque la mort de Lord Grenville par son retour inopiné. En 1827, il annonce à Charles de Vandenesse (qui se trouve être l'amant de sa femme) qu'il a des chances d'être ambassadeur. Il consent à donner asile à un inconnu qui se révèle être un assassin, il le chasse de chez lui et voit avec hoorer Hélène, sa fille aînée, prête à quitter le foyer familial pour suiver cet inconnu. Il est ruiné par la faillite d'un agent de change et s'expatrie pour refaire sa fortune. Il est victime de la troisième liquidation Nucingen. Ayant refait fortune en Amérique, il rentre en France à bord du Ferdinand en 1836. Il assiste au combat livré à son navire par un corsaire qui n'est autre que Victor. Il retrouve donc sa fille Hélène à bord, mère de quatre enfants. Il meurt en 1833, épuisé de fatigue mais ayant rétabli sa fortune. En 1811, il a remplacé Sommervieux dans les bonnes grâces de la duchesse de Carigliano (La maison du chat-qui-pelote). En 1818, il est pratique de César Birotteau (César Birotteau). Il est tuteur et cousin de Beaudenord à qui il rend son compte de tutelle lors de sa majorité, en 1821 (La Maison Nucingen). En 1822, Oscar Husson prétend que le marquis est un vieil adorateur de Mme de Sérisy (Un début dans la vie). En effet, il aura une liaison de dix ans (1819-1829) avec elle (Splendeur et Misères des courtisanes). Vers 1838, Hulo d'Evry rappelle àà ses proches que naguère Victor d'Aiglement s'est expatrié en Amérique et qu'il pourrait l'imiter (La cousine Bette).
Voir :
La femme de trente ans   La Maison Nucingen   Histoire de la grandeur et de la décadence de César Birotteau   La Cousine Bette   La Duchesse de Langeais   La Maison du chat-qui-pelote   Modeste Mignon   Splendeurs et Misères des courtisanes   Un début dans la vie  

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Coralie
1804-1822. Comédienne. À quinze ans, vendue soixante mille francs par sa mère à Marsay; entrée au théâtre par désespoir (Illusions Perdues). Maîtresse du négociant Camusot en 1821, en relation avec Philippe Bridau, Florine, Mariette, etc. (La Rabouilleuse). En 1836, Lousteau rappellera à Cardot que, quinze ans auparavant, Florine, Flerentine, Tullia, Mariette et Coralie étaient comme les cinq doigts de la main. (La Muse du département). Sa beauté sublime donne à Joseph Bridau l'idée de la courtisane dans son célèbre tableau, clou du Salon de 1823 (La Rabouilleuse). Un 1822, Cardot ne désapprouve pas la liaison de son gendre Camusot avec elle (Un début dans la vie). La même année, début au Panorama-Dramatique dans une pièce de du Bruel (Illusions Perdues). Richement entretenue par Camusot venu avec son beau-père à la première de L'Alcade dans son embarras; compromet la pièce par son coup de foudre pour Lucien de Rubempré; l'emmène chez elle, rue de Vendôme, après le souper de Florine. L'article de Lucien sur L'Alcade lui procure une proposition d'engagement au Gymnase. Elle est saisie de son mobilier en 1822 et va habiter avec Lucien rue de la Lune. Par suite d'une cabale elle est sifflée et la pièce tombe à plat. Elle a du succès peu aprs dans la pièce de Camille Maupin mais est trop malade pour jour, son rôle est repris par Florine. Elle meurt réconciliée avec l'Église. Pour payer son enterrement, le 27 août 1822, Lucien est obligé de composer des chansons à boire. Sa mort est rappelée à Esther; elle est citée par Mme d'Espard en 1824 comme l'ex-maîtresse de Rubempré; Blondet, la même année, fait allusion à cette liaison ainsi que Carlos Herrera (Splendeurs et misères des courtisanes). Florine rappelle qu'elle a été son amie (Une fille d'Ève).
Voir :
Illusions Perdues   Splendeurs et Misères des courtisanes   La Rabouilleuse   Un début dans la vie   La Muse du département   Une fille d'Ève  

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Artistes
Peintres, dessinateurs, poètes, marchands d'art



  • Bridau, Joseph
    Peintre né en 1799. Frère cadet de Philippe Bridau (La Rabouilleuse), bénéficie d'une bourse complète au Lycée impérial en 1808 ; une somme de six cents francs par an est allouée à son éducation, aux frais de la cassette personnelle de l'Empereur. Ses aspirations artistiques naissent en 1812 après la visite de l'atelier du sculpteur Chaudet, professeur à l'&Acute;cole des Beaux-Arts. Ami d'enfance du dessinateur Bixiou (Les Employés). Pendant l'hiver 1814-1815, il devient élève de l'atelier de Gros, il s'y lie avec Schinner. Vers cette époque, il moque les toilettes usrannées de Mme Leseigneur de Rouville (La Bourse). Il vit dans la misère en 1816 et 1818, grâce à Gérard il obtient l'exécution de deux copies du portrait de Louis XVIII. Il recontre Pierre Grassou en 1819 qui lui conseille de faire de la littérature au lieu de peindre (Pierre Grassou). Membre du Cénacle en 1819, il y représente la peinture (Illusions Perdues). Après avoir découvert les vols et mensonges de son frère, il part à Issoudun avec sa mère en juin 1822. Il y est arrêté sous l'inculpation erronnée de tentative d'assassinat de Maxence Gillet. Relâché, il quitte Issoudun avec sa mère. (La Rabouilleuse). Prend avec Mistigri le coucou de Pierrotin à destination de château de Presle en septembre 1822. Il s'amuse à jouer le rôle du grand peintre Schinner. (Un début dans la vie). Après son succès au Salon de 1823, il va habiter rue de Seine avec sa mère jusqu'à son décès en 1828. Il est soutenu par le Cénacle, par Mlle des Touches, il reste mal vu des bourgeois et a encore des dettes. Il est, en 1829, un des articstes qui ont illustré l'oeuvre de Canalis (Modeste Mignon). À la fin de cette même année, Nucingent lui paye dix mille francs un de ses tableaux (Splendeurs et Misères des courtisanes). Il fait admettre au salon de 1829 une oevure de Pierre Grassou. En 1831, chez Mlle des Touches, il émet l'opinion que la réflexion est contraire à l'amour (Autre étude de femme). Il est témoin avec d'Arthez du mariage de Marie Gaston avec la baronne de Macumer en 1833 (Lémoires de deux jeunes mariées). Cette même année, Minoret-Levrault trouve à Goupil l'expression diabolique prêtée par Joseph au Méphistophélès de Goethe (Ursule Mirouët). Il aide, en 1838, Stidmann à faire remettre en liberté leur mai Wenceslas Steinbock, incarcéré pour dettes à Clichy (La cousine Bette). Il assiste ensuite à son mariage. Vers 1839, il épouse la fille d'un fermier millionnaire, Mlle Léger. Il hérite de son frère Philippe, tué en Algérie, le titre de compte de Brambourg et son bel hôtel ; il a ainsi soixante mille francs de rente. Vers 1840, Théodore de la Peyrade déclare chez les Thuillier ne pas aimer la peinture de Joseph, lui préférant de beaucoup celle de Grassou ! (Les Petits-Bourgeois). En 1845, il habite toujours l'hôtel de Brambourg, voisin de celui de Léon de Lora (Les comédiens sans le savoir).
    Voir :
    La Rabouilleuse   Un début dans la vie   Illusions Perdues   Pierre Grassou   La Cousine Bette   Splendeurs et Misères des courtisanes   Autre étude de femme   La bourse   Les Comédiens sans le savoir   Les Employés   Les Petits Bourgeois   Mémoires de deux jeunes mariées   Ursule Mirouët  


출처 : http://hbalzac.free.fr/personnages.php


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19세기 전반 시대정신의 하나를 대표하며 근대사회주의의 성립과 프랑스 산업혁명의 전개에 불멸의 발자취를 남겼다. 1825년 앙팡탱, 바자르, 로도리그(은행가) 등의 협력으로 시작되어 《생산자》 《조직자》 《지구()》 등의 신문을 발행, 생시몽 교단()의 설립과 포교, 공개 강연회 등에 의해서 활발하게 선전되었다.


1831년, 앙팡탱이 주창한 자유결혼을 둘러싸고 내부분열이 일어나 사상운동으로서는 침체상태에 빠졌다. 그후 은행을 중추로 하는 근로자의 보편적 협동사회 건설을 꿈꾸는 실천시대가 시작되어 철도의 확장과 통합, 예금을 산업투자에 연결시키는 새로운 은행제도의 설립, 도시계획, 각종 공공사업, 알제리 식민, 수에즈운하의 개통 등이 추진되었다.


이렇게 해서 대륙형 자본주의 형성의 사상적 토대가 된 생시몽주의는 상속재산 폐지·국유화에 의한 사적 소유의 사회화, 생산수단의 소유자와 비소유자와의 계급대립의 인식, 계급투쟁사관, 노동의 조직화, 생산과 분배의 사회적 관리자로서의 국가, 능력에 따른 노동과 노동에 알맞은 취득, 자유방임원리 비판 등의 사상을 정식화()하였다. 또한 이 사상은 부르주아 사회의 비판에서는 푸리에와 중복되지만 협동사회의 이해에서는 날카롭게 대립된다. 생시몽주의는 유럽 전역에 거의 파급되었고 하이네, 베를리오즈, 리스트, 발자크, 조르주 상드, 위고, 생트뵈브 등 당대 최고의 예술가들에게 영향을 미쳤다.


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