1.La plasticité au soir de l'écriture , Dialectique, destruction, déconstruction
Etude (broché). Paru en 01/2005
La plasticité au soir de l'écriture est un manifeste particulièrement éclairant pour qui tente de comprendre l'un des mouvements directeurs de la philosophie française de ces cinquante dernières années. Dans cette autobiographie intellectuelle, Catherine Malabou revient sur l'héritage de la déconstruction en partant du motif fondamental de la pensée de Jacques Derrida, l'écriture. À travers une confrontation de cette pensée avec celles de Hegel et de Heidegger, elle montre comment le concept de plasticité tend aujourd'hui à se substituer aux schèmes du graphe et de la trace. Le dialogue entre "graphique" et "plastique" qui se noue alors s'étend à différentes disciplines et met au jour, de l'anthropologie à la neurobiologie, des enjeux théoriques décisifs.
Catherine Malabou Catherine Malabou, maître de conférences en philosophie à l’Université Paris X-Nanterre. Elle est l’auteur de L’Avenir de Hegel. Plasticité, temporalité, dialectique (Vrin, 1999) ; avec Jacques Derrida, La Contre-allée (La Quinzaine littéraire-Louis Vuitton, 1999) ; Le Change Heidegger (éd. Léo Scheer, 2004) ; Que faire de notre cerveau ? (Bayard, 2004) ; La plasticité au soir de l’écriture (Éd. Léo Scheer, 2005).
2.LA PLASTICITÉ EN SOUFFRANCE.
http://www.cairn.info/revue-societes-et-representations-2005-2-page-31.htm

3.Ontologie de l’Accident. Essai sur la plasticité destructrice. », 84 pages, Léo Scheer, 2009
Résumé
A travers accidents et bifurcations, C. Malabou continue de développer une notion qui lui est chère : celle de la plasticité. Elle s'intéresse aux changements et métamorphoses liés tant aux aléas et aux aspérités de ces vies qu'à leurs cours naturel comme le vieillissement et le déclin.
Quatrième de couverture
Ontologie de l'accident En conséquence de graves traumatismes, parfois pour un rien, l'histoire du sujet bifurque et un personnage nouveau, sans précédent, cohabite avec l'ancien. Un personnage méconnaissable, dont le présent ne provient d'aucun passé, dont le futur n'a pas d'avenir. Un monstre dont aucune anomalie génétique ne permet d'expliquer l'apparition. Une improvisation existentielle. De cette impossibilité du retour de l'identité blessée sur elle-même, une forme surgit, née de l'accident, née par accident. Quelle est cette forme ? Un visage ? Une allure ? Un profil psychologique ? Et quelle ontologie peut-elle en rendre compte, si l'ontologie est depuis toujours attachée à l'essentiel et reste aveugle à l'aléa des transformations ? Quelle histoire de l'être peut-elle expliquer le pouvoir plastique de la destruction, de la tendance explosive de l'existence qui menace secrètement chacun de nous ? Poursuivant sa réflexion sur les chocs psychiques et cérébraux, Catherine Malabou nous invite ici à une aventure philosophique et littéraire, où Spinoza, Deleuze, Freud croisent Proust et Duras.
http://www.leoscheer.com/blog/2009/02/28/958-ontologie-de-l-accident-de-catherine-malabou-par-robert-maggiori