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Inventions à deux voix
ENTRETIENS-Danielle Cohen-Levinas Jean-Luc Nancy
janvier 2015

présentation du livre :


œuvre de Jean-Luc Nancy – une des plus importantes aujourd’hui – aura traversé plus qu’une expérience de pensée. La richesse et la complexité de ses analyses, de ses références, de son engagement intellectuel sont d’une densité rare. Rien ne lui aura échappé : histoire de la philosophie, métaphysique, politique, déconstruction, théologie, esthétique, art, littérature… Les entretiens passe en revue ces différents registres de la pensée sans jamais céder à l‘exigence philosophique qui caractérise ce partage à deux voix.
Ce dialogue entre Danielle Cohen-Levinas et Jean-Luc Nancy a commencé depuis longtemps, un peu sur le mode d’une forme musicale, telle qu’on la trouve à l’époque classique et baroque. L’inventeur de l’invention est Jean-Sébastien Bach. Il s’agit ici d’une invention à deux voix, qui se déploie dans le temps sans jamais viser sa finalité ou sans jamais toucher à sa fin.


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Broché: 307 pages
Editeur : Editions Gallimard (1 avril 2012)
Collection : Blanche
Langue : Français
ISBN-10: 2070137643
ISBN-13: 978-2070137640


Présentation de l'éditeur
Ce livre n'est ni un traité des signes de ponctuation en usage, ni un ouvrage sur la ponctuation à telle époque, dans tel genre ou chez tel auteur. C'est un essai qui pose la ponctuation comme un objet esthétique pour en faire la pierre de touche d'une expérience du temps dans l'écriture, tout particulièrement la prose romanesque : plaçant son objet au carrefour de plusieurs domaines, il les fait jouer ensemble en s'intéressant non seulement aux textes de Proust. Simon ou Gracq, mais aussi à des oeuvres d'artistes contemporains comme Parmiggiani ou Serra. Le terme s'emploie en effet aussi dans les arts comme la musique, la peinture. le cinéma ou l'architecture, où les places et les axes marquent la déambulation du piéton et ponctuent son cheminement. Le parcours du lecteur de roman est ainsi rapproché in fine de celui du spectateur des installations de Richard Serra. celle du musée Guggenheim de Bilbao, The Matter of Time, ou celle qui a été proposée au Grand Palais en 2008. Promenade. Marcher dans la phrase, marcher dans le temps, marcher dansa "La Matière du Temps" : la ponctuation marque les temps de la lecture comme elle marque les temps de la promenade du visiteur. Elle serait alors un des critères nécessaires de l'oeuvre d'art.


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De l'Habitude |  Félix Ravaisson

Préface de : Frédéric de Towarnicki
 


 

En vivant le phénomène si familier de l'habitude, chacun de nous est embarqué dans une aventure qui n'est pas seulement physiologique mais bien métaphysique, ontologique, étendue jusqu'à l'horizon de l'être, en rapport avec l'énigme même de la Création. Car dans la pensée de Ravaisson transparaît une méditation sur la Création vue comme un infini s'abaissant jusqu'à la finitude. Il nous invite à nous ouvrir à ce qui "coule sans bruit au fond de l'âme", à découvrir un aspect crucial de notre condition.
Qualifié de "chef-d'oeuvre" et de "poème philosophique", De l'Habitude a suscité l'estime admirative de Martin Heidegger et exercé une influence non négligeable sur les écrits de Bergson et de Marcel Proust.


+ Essai sur la métaphysique d'Aristote.

[Volume 1] / par Félix Ravaisson Ravaisson


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Parution :  février 2009   

A travers accidents et bifurcations, C. Malabou continue de développer une notion qui lui est chère : celle de la plasticité. Elle s'intéresse aux changements et métamorphoses liés tant aux aléas et aux aspérités de ces vies qu'à leurs cours naturel comme le vieillissement et le déclin.

Ontologie de l'accident

En conséquence de graves traumatismes, parfois pour un rien, l'histoire du sujet bifurque et un personnage nouveau, sans précédent, cohabite avec l'ancien. Un personnage méconnaissable, dont le présent ne provient d'aucun passé, dont le futur n'a pas d'avenir. Un monstre dont aucune anomalie génétique ne permet d'expliquer l'apparition. Une improvisation existentielle. De cette impossibilité du retour de l'identité blessée sur elle-même, une forme surgit, née de l'accident, née par accident. Quelle est cette forme ? Un visage ? Une allure ? Un profil psychologique ? Et quelle ontologie peut-elle en rendre compte, si l'ontologie est depuis toujours attachée à l'essentiel et reste aveugle à l'aléa des transformations ? Quelle histoire de l'être peut-elle expliquer le pouvoir plastique de la destruction, de la tendance explosive de l'existence qui menace secrètement chacun de nous ?

Poursuivant sa réflexion sur les chocs psychiques et cérébraux, Catherine Malabou nous invite ici à une aventure philosophique et littéraire, où Spinoza, Deleuze, Freud croisent Proust et Duras.


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Le plaisir au dessin 

 17/09/2009 

 Galilée

Ce texte reprend dans une nouvelle version celui du catalogue de l’exposition « Le plaisir au dessin », que Jean-Luc Nancy avait organisée en 2007 au musée des Beaux-Arts de Lyon. Il présente une réflexion sur le dessin qui considère ce dernier à la fois pour lui-même et comme un paradigme pour tous les arts de ce qu’on nomme « la forme », et plus précisément la forme dans son mouvement naissant, dans sa formation, dans son élan et dans le maintien de cet élan par-delà l’achèvement de l’œuvre.
Le « plaisir » dont il s’agit ne doit pas être compris comme satisfaction mais comme maintien ou reprise du désir dont la forme procède, ou mieux : que la forme « est » en quelque façon. S’engage ainsi une discussion avec la théorie freudienne du plaisir tant sexuel qu’esthétique.
Entre les sections du texte figurent des « carnets de croquis » qui rassemblent un grand nombre de citations d’artistes ou de philosophes comme autant d’esquisses pour multiplier les lignes de pensée. 

Dess(e)in (c'est le même mot) : désir de faire venir la forme, c'est-à-dire l'idée.
Dessin : idée sensible, ligne qui porte puissance d'infini. Dessin graphique, sans doute, mais aussi mélodique, rythmique, filmique, poétique. C'est un des opérateurs communs de tous les arts. Son plaisir, c'est son désir : que la forme vienne et que sans se déposer elle suspende son tracé pour en renouveler tout l'élan. Plaisir de désirer, non de résoudre une tension. C'est par quoi il faut aborder l'érotique de l'art aussi bien que l'érotique tout court.
Finalité sans fin : renouvellement infini de la fin, puisqu'elle n'est autre que l'inépuisable profusion qui nous est offerte de formes, de lignes de sens. Accompagné des dessins de Voilerie Adami, Pierre Alechinsky, Jean Le Gac, Ernest Pignon-Ernest, François Rouan, Gérard Titus-Carmel, Vladimir Veliékovié. 



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