dela fausse éloquence, des préjugés religieux,avec une connaissance très-étendue deslangues, des sciences et des beaux-arts,
<<J‘oserai hasarder un jugement que l‘avenirme paraît devoir confirmer: à mesure queles livres purement et simplementlicencieux perdront de leur célébrité, celui-ci pourrait bien en acquérir, parce qu‘on ytrouve la satire des mauvaises mœurs,
mais agréable. On l‘attribue à Diderot. Lapremière édition est de 1748. C‘est ici laseconde, ornée de figures moinsmédiocres. L‘ouvrage a été traduit enanglais.>>
Dans son Catalogue (manuscrit,Bibliothèque de l‘Arsenal), M. de Paulmy dit:<<Les Bijoux indiscrets, tirés d‘un ancienfabliau intitulé les C. qui parlent[4]. Il s‘estici fort étendu et forme un roman très-libre,