des pages très-philosophiques et très-sages, des morceaux allégoriques remplisde finesse, avec beaucoup de chaleur et deverve.» M. Rosenkranz (Diderot‘s Leben undWerke) signale en effet, parmi cesmorceaux, le Rêve de Mangogul (chap.
XXXII) comme un chef-d‘œuvre.
